Le blog de grosse bête féroce
Dans La Femme et le Singe, la femme choisit le singe, et Høeg semble vouloir dire par là, en guise de critique culturelle, que l'homme doit veiller à
abandonner ce type de masculinité (orienté vers le pouvoir et le prestige), car les femmes déçues se tournent vers les singes. La préférence doit être donnée au type de masculinité qu'Erasmus
représente et qui intègre la sensibilité, la sensualité et l'attention aux autres. La mention du choix de la femme, un singe et non un homme, contient une critique des hommes (pp.170-171)
».« lLempathie est l'une des caractéristiques que l'on associe à la féminité et à l'expérience féminine […] le nombre élevé de femmes primatologues s'inscrit dans le contexte historico-culturel plus large du rôle des femmes dans la pratique de la science (pp.70-71) ». C'est donc ainsi que « chaque espèce de singe semble […] avoir sa femme à elle. Les chimpanzés ont leur Jane Goodall, les gros loups leur grosse bête"
Sam 7 fév 2009
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